Le pareti realizzate mediante il sistema ICF ITALIA offrono valori di abbattimento acustico del tutto tranquillizzanti e ben superiori a quelli di analoghe pareti realizzate con sistemi tradizionali di pari spessore.
Les murs porteurs réalisés avec le système ICF Italia offrent en matière d´atténuation du bruit des résultats réconfortants et bien supérieurs à ceux de murs identiques réalisés avec des systèmes, selon toute apparence, similaires. Nous avons pris des mesures sur les unités immobilières contiguës dans les conditions prévues par les normes en vigueur et nous en avons tiré des valeurs d´isolation acoustique (R´w) aériennes de l´ ordre de 58-59dB, bien supérieures aux limites réglementaires (DPCM 5/12/1997, un minimum 50dB pour des cloisons entre unités immobilières). Ce qui en résulte est à consulter dans les rapports en pièce jointe.
Le bruit a été, jusqu´alors, l´une des causes de pollution la moins considérée et controlée, il n´a été reconnu comme dangereux pour la santé et le bien-être psycho-physique de l´humanité que très récemment; prise de conscience qui a mené à élaborer des lois qui réglementent les niveaux admissibles de pollution sonore. L´accroissement progressif de la précision des évaluations immobilières mais, surtout, la sensibilité considérable de la population en général, ont contribué à faire mûrir la sensibilité à l´égard de “la maison”, non seulement en termes de qualité de construction mais aussi dans des aspects moins déchiffrables tel que le confort de l´habitation. La pollution sonore et le bruit qui se manifestent en termes de “dérangement”, sont des paramètres qui déterminent la définition de “la qualité de l´environnement” d´un édifice. Depuis quelques années, en rapport avec ce sujet, le nombre de contentieux au civil pour faire cesser les causes du dérangement et pour obtenir le remboursement des torts subis entre l´acquéreur et le concepteur (ou l´entreprise de construction de l´immeuble), a augmenté.
Dans la majorité des procédures judiciaires, les réclamations se concentrent principalement sur trois aspects: − l´évaluation des émanations sonores en relation avec le critère juridique de la “supportabilité”, au sens de l´ art. 844 c.c.; − l´ évaluation de la qualité passive de l´édification, pour laquelle il faut vérifier la complaisance du “critère de bonne technicité”; − la quantification de la dévaluation de l´immeuble.
Le principe sur lequel est fondé le DPCM du 5 décembre 1997 mentionnant la “Détermination des qualités passives de l´édification” en général, a été défini par le document interprétatif numéro 5 de 1994 évoquant la “Protection contre le bruit”, obéissant aux instructions européennes n. 89/106 de 1988, qui exigent que “l´œuvre doit être construite et conçue de façon telle que les habitant et les personnes qui occupent l´ habitation, ou les gens qui se trouvent à proximité, demeurent exposés à un niveau non nuisible pour leur santé, pour le repos et au travail”.
Une telle condition peut concerner toutes les œuvres dans lesquelles la santé des individus est exposée à un niveau sonore, en relation avec la notion de “bien-être”, applicable au sommeil, au repos et aux occupations. Sans nous plonger dans des considérations juridiques, il est évident que, pour ce qui a été exprimé ci-dessus, les éléments structurels qui composent l´édifice, doivent ASSURER l´isolation acoustique ainsi qu´il est réclamé par les normes en vigueur. Ceci constitue une directive tant pour les opérateurs (entreprises de construction, concepteurs, directeurs des travaux) que pour les utilisateurs (commissionaires et/ou acquéreurs d´immeubles).